■ Du 26 février au 6 mars | Le patrimoine culturel matériel et immatériel de Pologne
Maison Internationale de Rennes, 7 quai Châteaubriand à Rennes |Gratuit |Du mardi au jeudi : 14h – 18h30/Vendredi : 14h-18h
Dans le cadre de son partenariat avec le Cercle Celtique de Rennes et l’association de jumelage Rennes-Poznań met en place, à la Maison Internationale de Rennes, une exposition de costumes traditionnels de Cracovie, des découpages et autres objets (poteries, broderies, etc ) issus des coutumes polonaises.
Le vernissage de l’exposition se tiendra le lundi 29 février à 18h30 à la Maison Internationale de Rennes, 7, quai Châteaubriand.
■ Du 26 février au 26 mars | Exposition photographique : Transmission
Au Centre Léo Lagrange, Ferme de la Harpe à Rennes | Gratuit | Du lundi au vendredi de 14h à 19h/le samedi de 14h à 18h30
Sophie Lambert a capté des moments d’échange et de partage lors de rassemblements concoctés par Astour, la compagnie d’art populaire en pays de Rennes dont elle fait partie. Que ce soit des visiteurs, des gens du quartier, des promeneurs, des étudiants ou des groupes venus de loin ou pas présenter leurs cultures, les rencontres sont devenues ce que les protagonistes en faisaient. à partir des gestes les plus simples comme s’offrir à manger, écouter une histoire ou danser, sont nés des moments riches, du temps plein et entier à vivre sur une place éphémère dont les bancs, les arbres et le tintamarre ont jailli au gré des pas et des regards.
■ Du 26 février au 6 mars | Sonneurs de vielle en Bretagne, exposition du Collectif vielle en Bretagne
Cercle Celtique de Rennes, Ferme de la Harpe à Rennes | Gratuit | Du lundi au vendredi de 14h à 18h | Rens. : 02 99 54 36 45
De 1981 à 1984, le Collectif vielle en Bretagne a mené une enquête auprès des derniers vielleux de tradition en Bretagne, et a recueilli la mémoire collective liée à cette pratique instrumentale, vivante jusque dans les années 1930 dans la partie gallèse des côtes d’Armor et surtout autour de Saint-Brieuc. En parallèle à un disque où l’on entend les sonnou d’vielle, et d’un film (La manie vielle des Bretons), une exposition a alors été créée, composée de grandes photos prêtées par les familles de vielleux. 36 panneaux évoquant tant la tradition familiale sur plusieurs générations (chez les Gautier à Saint-Julien, ou chez les Gauçon à Langueux…), que les noces ou les conscrits menés à la vielle, avec des documents émouvants, tel la première noce d’Adrien Cardin à 12 ans en 1904… un vielleux de Pléneuf, qui transmettra son répertoire 80 ans plus tard ! Les instruments, avec leurs magnifiques têtes sculptées, sont bien sûr présentés, des vielles de luthiers professionnels aux constructions locales. Une exposition qui reste toujours aussi prenante, trente ans après sa création !
Depuis 2013, l’Association Vielle à Roue en Bretagne poursuit ce travail de diffusion, collectage, promotion de la vielle en Bretagne.
■ Du 26 février au 6 mars | Exposition photographique : « Poznan, ville en mouvement » de Michel Ogier
Maison Saint Cyr, Rennes | Gratuit | Rens. : 02 99 54 36 45
C’est à la demande de l’association Rennes-Poznan que j’ai réalisé ce reportage durant 12 jours au mois d’août de l’année dernière. Ce travail s’effectuant en lien avec la Maison de la Bretagne de Poznan, (j’ai été accueilli par Elzbiétà, responsable du département culturel) et la Mairie de Poznan.
Aidé par Maciej Kuszela photographe à Poznan, mon approche a été de photographier d’abord tout ce qu’un visiteur lambda découvre en premier lieu les monuments, puis, les lieux de loisirs, les commerces ou encore les entreprises (notamment la brasserie Lech). Ensuite, en compagnie de Maciej, nous sommes allés à Wolstein, prenant le train à vapeur qui dessert la dernière ligne régulière en Europe.
Les premiers jours de moisson photographique dans une ville sont en général fructueux. C’est lorsque l’on approfondit et quand on se confronte au moins convenu, au moins attendu, au moins fait pour se montrer, que le travail devient plus exigeant. Et au fil de la découverte, j’en ai ébauché une vision plus personnelle. Je m’attendais à voir une ville encore marquée par son passé. Cela n’a pas été le cas, j’ai été agréablement surpris de découvrir une cité moderne, qui semblait comme récemment rénovée, avec des habitants dynamiques et optimistes.
Au fur et à mesure, j’ai construit l’exposition pour aborder les aspects les plus représentatifs de cette ville. Une ville qui bien évidemment a beaucoup plus à révéler, en particulier avec ses jeunes. Je pressens, au vu de ce que j’ai capté par le modeste prisme de ma boîte à images, que nous devrions compter avec la Pologne.
Michel Ogier